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La revue de presse Finopsys
13/06/23 - Comptabilité  Finopsys  Poste Clients  Relation Client  Reporting  Ressources Humaines  Trésorerie 

La revue de presse Finopsys


 


TPE/PME : HAUSSE DE LA TRESORERIE, L'INVESTISSEMENT ET LA CROISSANCE AU PREMIER TRIMESTRE 2024


 

Le premier trimestre 2024 a été plutôt positif pour les 159 000 TPE et PME françaises.

 

 

En effet :

 

  • Les délais de paiement clients ont diminué, un élément positif pour les trésoreries d'entreprise.

 

  • 12% des dirigeants ont déclaré observer une amélioration de l'état de santé de leur trésorerie, un chiffre en hausse de 2 points par rapport au trimestre précédent.

 

 

  • 51% des dirigeants annoncent avoir investi ou vouloir investir en 2024.

 

  • Les difficultés d'approvisionnement et de recrutement ont diminué durant ce premier trimestre.

 

 

Optimisez votre trésorerie d'entreprise grâce Sage XRT Solutions !

 

 

Lire l'article complet :

https://bigmedia.bpifrance.fr/nos-actualites/tpe/pme-hausse-de-la-tresorerie-linvestissement-et-la-croissance-au-premier-trimestre-de-2024

Article publié le 15 avril 2024

 


DIRECTIVE EUROPEENNE SUR LE GREENWASHING : LES CONTOURS D'UN NOUVEAU GARDE-FOU


 

L'Union Européenne a adopté une directive contre le greenwashing pour en réduire la portée.

 

Qu'est-ce que le greenwashing ?

C'est le fait de communiquer sur des éléments d'éco-engagement qui ne sont pas fondés.

 

Les entreprises qui le pratiquent le font essentiellement dans un but d'amélioration de leur image RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises).

 

 

En 2020, d'après une enquête de la Commission, 53.3% des allégations environnementales examinées en 2020 correspondaient à la définition même du greenwashing.

 

De plus, 50% des labels environnementaux présents sur le marché européen étaient attribuées sans que les vérifications nécessaires soient effectuées.

 

C'est pour donner un cadre plus concret (et régulé) que l'U.E a décidé de mettre en place son propre label environnemental.

 

Les entreprises vont donc devoir se conformer aux critères de celui-ci, tout en adaptant leur communication RSE aux consommateurs.

 

 

Lire l'article complet :

https://www.daf-mag.fr/Thematique/reglementation-1243/Breves/Directive-europeenne-sur-le-greenwashing-les-contours-d-un-nouveau-457893.htm

Article publié le 08 avril 2024

 


ACTIFS NUMERIQUES : QUELS RISQUES ET OPPORTUNITES POUR LES ENTREPRISES


 

À quelques jours du halving* du Bitcoin (BTC), le marché des crypto-actifs s'agite...

 

Mais que représentent réellement ces actifs, en termes d'opportunités/risques, pour les entreprises ?

 

 

Principales opportunités :

 

- Peuvent positionner des entreprises en "porteuses de mouvement".

 

- Peuvent permettre de se démarquer des concurrents avec originalité et innovation, notamment à travers la création de collections d'objets numériques (NFT), de programmes de fidélité...

 

- Peuvent permettre d'établir une part numérique de trésorerie et potentiellement de générer des profits liés à l'aspect spéculatif des crypto-actifs.

 

 

Principaux risques :

 

- Peuvent conduire a des pertes de capital liées à la haute volatilité de ces actifs, il est donc important d'opérer avec vigilance.

 

- L'historisation des transactions relatives aux crypto-actifs est nécessaire afin de limiter les risques de pertes de fonds liées à des transactions atypiques.


- Le cadre réglementaire est encore assez flou, mais il est obligatoire de passer par une plateforme réglementée.

 

 

 

*Le halving se produit environ tous les 4 ans pour la blockchain Bitcoin (BTC) et a pour conséquence la division par deux de la récompense (en Bitcoin) décernée lors du minage de chaque bloc.

Ce procédé ralentit progressivement la mise en circulation de nouveaux Bitcoins.

 

 

 

Finopsys vous accompagne dans votre transition numérique.

 

 

 

Lire l'article complet :

https://www.daf-mag.fr/Thematique/BI-1244/Breves/Actifs-numeriques-quels-risques-opportunites-entreprises-442011.htm

Article publié le 27 mars 2024

 


L'IA EN DIRECTION FINANCIERE : DU BUZZ ET DES RESERVES


 

70% des personnes interrogées considèrent qu'une crise pourrait émaner du contexte global actuel, dans les trois prochaines années.

 

Selon 31% des DAF, la capacité à utiliser de nouveaux logiciels et de nouvelles technologies, pourrait permettre de faire face à des événements imprévus.

 

Cependant, 30% de ces derniers pensent que le manque de compétence est un frein quant à son adoption.

 

 

L'IA générative fait du bruit, elle a été citée dans 69% des cas lorsqu'il était question de "nouvelles technologies".

 

34% des DAF redoutent l'impact de leur adoption en termes de suppression d'emplois, comme de potentielle utilisation frauduleuse.

 

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Finopsys vous accompagne dans votre transition numérique.

 

Lire l'article complet :

https://www.daf-mag.fr/Thematique/BI-1244/Breves/L-IA-en-direction-financiere-du-buzz-et-des-reserves-456898.htm

Article publié le 06 mars 2024

 


PRES D'UN CADRE SUR DEUX DEMISSIONNERAIT EN CAS DE SUPPRESSION DU TELETRAVAIL


 

Le télétravail a été largement adopté depuis son instauration forcée durant la crise COVID.

 

 

Une étude l'APEC (Assossiation Pour l'Emploi des Cadres) s'est penché sur le cas spécifique des cadres.

 

 

  • 1 cadre sur 2 démissionnerait s'il devenait impossible de télétravailler dans son entreprise.

Chez les "jeunes cadres", cette statistique atteint 60%.

 

  • En février 2020, seulement 20% des cadres télétravaillaient au moins une fois par semaine.

Ils sont désormais 33% dans cette situation.

 

  • Seulement 50% des cadres se verraient rejoindre une entreprise ne proposant pas de télétravail.

 

 

Malgré cette cote de popularité élevée, 3 points restent à améliorer :

 

  • La distinction entre vie professionnelle et vie privée. Le "droit à la déconnexion" est une loi qui va dans dans le sens de cette amélioration.

 

  • Une bonne organisation collective du travail hybride.

 

  • Une diminiution de la crainte de voir sa carrière professionnelle limitée du fait du télétravail.

 

Lire l'article complet :

https://www.francetvinfo.fr/economie/entreprises/cela-s-est-vraiment-installe-dans-les-pratiques-pres-d-un-cadre-sur-deux-demissionnerait-en-cas-de-suppression-du-teletravail-selon-une-etude_6419893.html

Article publié le 12 mars 2024

 


POURQUOI UNE TELLE DECEPTION DE LA GEN. Z CONCERNANT LE CHOIX DE CARRIERE ?


 

40% des interrogés, issus de cette génération, souhaiteraient d’ores et déjà changer de carrière professionnelle.

 

Les principales sources de déception citées sont :

 

1) La rémunération insuffisante (38%).

2) Le stress au travail (28%).

3) L'ennui professionnel et le manque de défi (26%).

 

 

25% des sondés disent ressentir une divergence de valeurs avec leur entreprise.


En somme,

Les nouveaux entrants sur le marché du travail aspirent à une vie professionnelle plus épanouissante, alignée avec leurs convictions et offrant davantage de flexibilité.

 

Les entreprises doivent se préparer à l'émergence de ces nouvelles exigences sur le marché du travail.

 

C'est pour cela que FINOPSYS propose la solution Poplee Engagement (de Lucca) pour veiller au bien-être de chacun au sein de votre entreprise.

 

Lire l'article complet :

https://culture-rh.com/carriere-changement-generation-z/

Article publié le 26 février 2024

 


TRANSFORMATION NUMERIQUE : LES PME GAGNENT EN MATURITE


 

L’étude sur laquelle nous nous basons a été réalisée par Occurrence (groupe IFOP) du 7 juin au 28 juin 2023.

 

67 % des DAF de PME considèrent la transformation numérique comme une préoccupation majeure pour leur entreprise.

 

Pour 43 % des DAF le coût est un frein important à la transformation numérique.

 

30 % des DAF estiment que le processus est trop chronophage (contre 45 % en 2022) et 31 % évoquent un manque de compétences (contre 46 % l'année précédente).

Les chiffres sont meilleurs qu'en 2022.

 

 

 

 

48 % des daf interrogés ont indiqué utiliser des outils de travail dans le cloud.

Notamment pour leur facilité d'accès et d'utilisation, la sécurisation des données et l'amélioration du travail collaboratif.

 

  • 49 % utilisent un cloud privé.
  • 27 % ont opté pour un cloud hybride.
  • 7 % ont préféré un cloud public.

 

Seulement 25% des DAF interrogés se sentent concernés par les évolutions liées à l'intelligence artificielle.

 

50% des DAF n'envisagent pas d'augmenter leurs dépenses pour adopter des outils technologiques plus verts.

 

 

Lire l'article complet :

https://www.daf-mag.fr/Thematique/rh-1245/transformation-organisations-2130/Breves/Transformation-numerique-les-PME-gagnent-en-maturite-387614.htm

Article publié le 02 janvier 2024

 


UN MONTANT RECORD DE 1.1 MD DE DOLLARS VERSE EN RANÇONS EN 2023


 

Les chiffres sur lesquels nous nous appuyons proviennent de l’étude annuelle de Chainanalysis.

 

Montant des rançons versées par années :

2019 : 220M$

2020 : 905M$

2021 : 983M$

2022 : 567M$

2023 : 1.1Md$

 

Le nombre d’extorsions de fonds par l’utilisation de logiciels ransomware n’a cessé d’augmenter ces dernières années (2022 est l’exception qui confirme la règle).

La portée et la complexité de ces attaques sont de plus en plus vastes.

 

 

 

Le célèbre groupe de hackers LockBit, souvent décrit comme étant le plus prolifique et dangereux du monde (+de 1700 attaques revendiquées depuis 2020) a vu son site principal se faire démanteler (ainsi qu’une vingtaine d’autres).

 

La page d’accueil laisse désormais apparaître « Ce site est sous contrôle des forces de l’ordre ».

 

Cette contre-attaque est le fruit de la collaboration entre 11 pays (dont la France).

 

Malheureusement, la contre-offensive des forces de l'ordre n'aura pas permis de démanteler tous les sites qui sont associés aux activités de LockBit.

Il existe encore des sites subsidiaires aux sites déjà fermés qui pourraient continuer d’alimenter les « affiliés » qui se servent de cette même technologie.

 

N'oublions pas non plus qu'il existe d'autres groupes de cybercriminels en activité... 

La lutte contre les pratiques que ceux-ci exercent demande un effort perpétuel, tant les techniques évoluent rapidement.

 

 

FINOPSYS vous accompagne dans la sécurisation de vos informations bancaires.

 

 

Lire les articles complets :

https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-un-montant-record-de-1-1-md$-verse-en-rancons-en-2023-92933.html

Article publié le 09 février 2024

 

https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/lockbit-le-groupe-de-hackers-le-plus-nuisible-au-monde-demantele-par-une-operation-policiere-internationale-20240220

Article publié le 21 février 2024

 

 


TRESORERIE D'ENTREPRISE : 8 TENDANCES A SUIVRE EN 2024


 

1) Taux d'intérêt élevés

 

Ceux-ci devraient rester élevés en 2024 d'après l'AFTE et l'Economist Intelligence.


Cette période risque d’alimenter les retards de paiements...

 

 

2) Placer sa trésorerie en 2024

 

42 % des trésoriers restructurent leurs portefeuilles d'investissement à court terme en réduisant notamment la durée de leurs investissements (TMI et Northern Trust).

 

 

3) Intelligence Artificielle

 

De larges espoirs reposent sur les évolutions potentielles que pourrait amener l'I.A dans le domaine de la trésorerie.

 

 

4) Instant Treasury

 

64% des trésoriers considèrent que la visibilité du cash est un enjeu majeur concernant la gestion des flux trésoriers.

 

 

 

5) Blockchain en trésorerie

 

La Blockchain en est encore a ses débuts en terme de trésorerie.


Les solutions qu'elle pourrait apporter sont : la réduction des intermédiaires, l'optimisation de la balance risques-profits (grâce au P2P)....

 

6) Monnaies digitales

 

93 % des banques centrales dans le monde, dont la Banque de France, y travaillaient déjà.


Les avantages seraient : une hausse de la traçabilité des échanges, de la transparence et une efficacité accrue.

 

7) ESG

 

83% des répondants considèrent la durabilité dans leurs décisions de trésorerie.


Ces chiffres tendent à croître encore davantage en 2024 avec l'adoption de la directive CSRD.

 

 

8) Data : Au cœur de la transformation

 

Le contexte ainsi que l'arrivée de nouveaux outils vont encore accroître l'importance des données de qualité.

 

 

2024 sera donc une année particulière où beaucoup de changements pourraient avoir lieu dans le domaine de la trésorerie.

 

 

FINOPSYS vous accompagne dans votre transition digitale en 2024 (et au-delà).

 

Lire l'article complet :

https://www.linkedin.com/pulse/tr%C3%A9sorerie-dentreprise-8-tendances-%C3%A0-surveiller-en-2024-galea-zefve/

Article publié le 29 janvier 2024

 

 


LE REPORTING : UN LEVIER CENTRAL POUR LA STRATEGIE DES ETI


 

L'enquête utilisée a été menée par Grant Thornton.

 

Cette étude a eu lieu auprès de 220 décideurs d'entreprises dont le chiffre d'affaires est supérieur à 20 millions d'euros, de décembre 2023 à janvier 2024.

 

 

Les 3 types de données les plus analysés par les ETI :

 

1) La data financière est celle qui est le plus fréquemment évaluée, avec 80 % des ETI qui les évaluent.

 

2) Les données comptables arrivent en seconde position avec 72 % des ETI qui y consacrent une attention particulière.

 

3) Les données opérationnelles se placent en troisième position avec 52% des ETI qui en étudient.

 

 

 

 

37 % des répondants déclarent utiliser des outils de reporting internes,

Cette statistique met l’accent sur l’importance d’avoir un outil qui réponde à des besoins et à un contexte très spécifiques.

 

29 % des ETI intègrent des systèmes ERP,

Cette donnée met en avant l'importance croissante des solutions technologiques pour faciliter la gestion des données et renforcer la cohérence des rapports générés.

 

Pour 41 % des dirigeants d'ETI, les aspects "aide à la prise de décisions stratégiques et à la mise en place de plans d'actions" restent prioritaires dans le reporting.

 

L'évaluation de la performance se classe deuxième en terme de priorité.

 

L'ajustement des budgets arrive en troisième position de priorité.

 

 

Notre partenaire INFINEO propose un outil de reporting très complet nommé INSIDE REPORTING.

 

Lire l'article complet :

https://www.daf-mag.fr/Thematique/fonction-finance-1242/gouvernance-strategie-2125/Breves/Le-reporting-un-levier-central-pour-la-strategie-des-ETI-399913.htm

Article publié le 22 janvier 2024

 

 


2023, ANNEE NOIRE DES DEFAILLANCES D'ENTREPRISES POUR LE SECTEUR IT


 

Le nombre de procédures collectives était en hausse de 42,5 % l'an dernier, pour les sociétés spécialisées dans la télécommunication, la bureautique et l’IT.

 

Ce score est supérieur de 7 points à la moyenne de l'ensemble des entreprises françaises.

 

 

Dans le secteur IT : 1 393 entreprises ont été touchées, soit une hausse de 42.57% par rapport à 2022.

 

 

Tous secteurs confondus ce sont 57 729 procédures de sauvegarde, de redressement ou de liquidation judiciaire directe ont été prononcées l'an dernier.

 

Ce nombre est en progression de 35,8 % par rapport à l’année 2022. (Altares)

 

 

La crise COVID serait l’une des grandes coupables de cette situation.

 

L’année 2022 nous avait réservé une augmentation historique de 49 % de défaillances d’entreprises (+36,4 % pour les secteurs technologiques).

 

 

Défaillances d'entreprise : IT

 

 

La maintenance et l'édition logicielle restent parmi les plus touchées dans le domaine des technologies.

 

En 2023, les éditeurs ont vu le nombre de défaillances augmenter entre 20% (développement d’applicatifs) et 110% (logiciels systèmes et réseaux).

 

On peut également citer les  sociétés de conseil en logiciels et systèmes d'information, dont 301 (+ 31%) ont été concernés par des procédures de sauvegarde, de redressement ou de liquidation.

 

 

Malgré cela, Finopsys est toujours là pour vous accompagner, selon vos besoins.

Nos 20 années (révolues) d’expertise métier nous ont fortement aidé dans ce contexte.

 

 

Pour en savoir plus sur les services de Finopsys c'est ici.

Pour en savoir plus sur l'histoire de Finopsys c'est ici.

 

 

Lire l'article complet :

https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-2023-annee-noire-des-defaillances-d-entreprise-pour-le-secteur-it-92769.html

Article publié le 25 janvier 2024

 

 


FISCALITE : QUELS CHANGEMENTS EN 2024 ?


 

Le Loi Finance 2024 apporte son lot de nouveautés en matière de finance des entreprises :

 

 

  • Prolongation de la CVAE

La Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE), qui devait initialement être supprimée le 1er janvier 2024, est finalement prolongée jusqu’au 1er janvier 2027.

 

Son taux d’application sera réduit progressivement, en 2023 le maximum atteint était de 0.375% alors qu’en 2024 le seuil sera de 0.28%

 

 

  • Nouveau crédit d'impôt

La loi de finances 2024 instaure la création d'un nouveau crédit d'impôt pour favoriser l’extension de l'industrie verte.

 

Cette nouveauté nommée C3IV s'appliquera uniquement pour les investissements des entreprises réalisés dans ces quatre domaines : la production de batteries électroniques, de panneaux solaires, de pompes à chaleur et d'éoliennes.

 

Ce crédit d’impôt sera valable jusqu’au 31 décembre 2025.

 

 

Fraude aux notes de frais

 

 

  • Extension du bénéfice de la QPFC de 1 %

La Quote-Part de Frais et Charge (QPFC) est abaissée à 1 % (elle s’élevait à 5% jusqu’à présent). 

 

Sa portée est cependant élargie car elle s'applique désormais aux dividendes reçus par toute société française non membre d'une intégration fiscale (par choix d'une filiale européenne). 

 

 

  • Report de la facturation électronique

À partir du 1er septembre 2026, la réception des factures électroniques sera obligatoire pour toutes les entreprises, quelle que soit leur taille.

 

Les grands groupes et ETI devront également émettre leurs factures électroniques et faire du e-reporting à compter de cette même date.

 

Concernant les micro-entreprises : cette obligation est reportée au 1er janvier 2027.

 

 

 

Finopsys accompagne votre entreprise dans sa transition vers la facture électronique en 2024.

En savoir plus sur les services de Finopsys.

 

 

 

Lire l'article complet :

https://www.daf-mag.fr/Thematique/reglementation-1243/fiscalite-2115/Breves/Fiscalite-quels-changements-en-2024--399764.htm

Article publié le 23 janvier 2024

 

 


DU RECOUVREMENT AMIABLE A L'ACTION CONTENTIEUSE : LES 4 ETAPES


 

Le fait d'être payé (dans les délais) n'est pas toujours une mince affaire.

 

 

Voici donc les 4 étapes qui constituent le « parcours de relance » :

 

 

Avant l’échéance (J-15 à J-5) :

 

Tout commence par un petit rappel préventif, une approche proactive.

Un message ou un appel pour s'assurer que tout est en ordre avant la date de règlement.

C'est le moment de désamorcer les éléments qui pourraient potentiellement entraver le paiement.

 

 

Phase de relance (J à J+30) :

 

Les relances se multiplient et les échanges deviennent de plus en plus formels, dans le but d’obtenir un « engagement de paiement » dans un délai défini.

Il peut être intéressant d’envoyer des courriers standardisés afin de conserver des « preuves » des tentatives de relance.

 

Fraude aux notes de frais

 

Phase de mise en demeure (J+30 à J+90) :

 

La phase amiable est désormais achevée.

Il est obligatoire d’avoir recours à l’envoi d’une lettre de mise en demeure, comprenant la mention « mise en demeure » et exigeant le paiement dans un délai fixé, avant de mener une action contentieuse (art. 1139 et 1146 du Code Civil).

La lettre en question doit être envoyée par Lettre Recommandée avec Accusé de Réception (LRAR) ou par acte huissier.

 

 

Phase d’actions contentieuses :

 

Si le client est solvable, il vous sera possible d’avoir recours a plusieurs actions (l’injonction de payer, la référé-provision et l’assignation directe en justice).

Dans le cas contraire, il sera complexe d’obtenir les fonds qui vous sont dus.

 

 

Le logiciel de recouvrement Eloficash, de notre partenaire Covline, permet de réduire votre délai moyen de paiement (DSO) et d’automatiser les relances clients.

 

 

Lire l'article complethttps://www.legifiscal.fr/vie-affaires/recouvrement-amiable-action-contentieuse-4-etapes.html

Article publié le 09 janvier 2024

 

 


INFLATION : LE BOOM DES FRAUDES AUX NOTES DE FRAIS


 

Entre les difficultés causées d'un point de vue financier chez une partie des cadres et les risques de fraudes pour les entreprises, les notes de frais peuvent constituer un sujet complexe.

 

 

Voici quelques données pour illustrer ce propos

 

En 2022, environ 10% des cadres en France (soit environ 850 000 cadres) ont déclaré finir le mois à découvert en raison des avances de frais selon le Figaro.

 

D’ici 2024, ce chiffre devrait atteindre un million, principalement en raison de la pression inflationniste qui pèse sur les achats professionnels.

 

25% des cadres interrogés lors d'un sondage reconnaissent avoir déjà inclus des dépenses personnelles dans leurs notes de frais.

 

Fraude aux notes de frais

 

Les entreprises ont pris des mesures afin d'essayer d'accroître leur contrôle, afin de limiter le nombre de fraudes.

Depuis, 52 % à 64 % des cadres auraient réduit leurs dépenses en notes de frais.

 

Les risques liés à de telles pratiques frauduleuses peut s'avérer être extrêment dangereux pour l'entreprise, tant du point de vue financier que judiciaire (redressement fiscal, amendes...).

 

 

 

Nos partenaires Lucca et Cegid proposent des solutions permettant de limiter considérablement les risques liés aux notes de frais.

 

 

Lire l'article complet : https://www.capital.fr/votre-carriere/inflation-le-boom-des-fraudes-aux-notes-de-frais-1486387

Article publié le 23 novembre 2023

 


COMPTABILITE D'ENTREPRISE : COMMENT LA GERER EFFICACEMENT ?


 

La comptabilité est le cœur battant de toute entreprise, influençant directement sa croissance et sa santé financière.

C'est un domaine complexe mais essentiel.

 

 

Mais alors, comment optimiser sa comptabilité ?

 

 

1) Être organisé

La comptabilité va au-delà de l'enregistrement des transactions. Elle englobe le classement et l'analyse minutieuse des données financières, formant ainsi le socle de toute décision stratégique d'entreprise.

Cet aspect de l’entreprise est crucial aussi bien pour se conformer aux obligations légales que pour piloter la société avec grande précision.

 

2) Travailler avec les bons outils

A l'ère actuelle, l'organisation et l'utilisation judicieuse des technologies sont indispensables.

Les logiciels comptables modernes, comme le logiciel FRP 1000 de notre partenaire Sage, révolutionnent la gestion comptable.

Ils automatisent les tâches répétitives, minimisent les erreurs et libèrent du temps précieux pour des tâches à plus forte valeur ajoutée.

 

Comptabilité d'entreprise

 

3) Réaliser régulièrement des audits internes

La pratique régulière d'audits internes est, elle aussi, fondamentale.

Elle garantit la conformité et l'intégrité des données financières et permet de tendre vers des processus d’amélioration continue.

 

4) Rester à jour

Le domaine de la comptabilité est en perpétuelle évolution, avec des changements réguliers dans les réglementations.

Se tenir informé à ce sujet, pour pouvoir s’adapter au mieux, est crucial pour rester compétitif et efficace.

 

 

La solution FRP1000 de notre partenaire Sage est l’outil d’optimisation de gestion de comptabilité, le plus adapté pour les ETI.

 

Pour en savoir plus sur la solution FRP 1000 et comment elle peut transformer votre gestion comptable, visitez Sage FRP 1000.

 

 

Lire l'article complet : https://www.challenges.fr/entreprise/comptabilite-d-entreprise-comment-la-gerer-efficacement_878855

Article publié le 3 janvier 2024

 


QU'EST-CE QUE LA QUALITE DE VIE AU TRAVAIL (QVT) ET POURQUOI LA METTRE EN PLACE ?


 

Selon l'Accord National Interprofessionnel (ANI) de 2013, elle correspond à l'harmonie entre amélioration des conditions de travail et performance des entreprises. Elle englobe bien-être physique, psychologique et social des salariés dans leur environnement professionnel.

 

Depuis le 31 mars 2022, la « Qualité de Vie au Travail » (QVT) a été remplacée par la « Qualité de Vie et des Conditions de Travail » (QVCT) dans le Code du Travail.

 

 

Les facteurs essentiels de la QVCT :

 

Relations et climat social : Promouvoir une ambiance de travail positive et collaborative.

 

Management participatif : Encourager l'implication des salariés dans les processus décisionnels.

 

Équilibre vie professionnelle/personnelle : Respecter et soutenir l'équilibre entre travail et vie privée.

 

Santé au travail : Assurer un environnement sain et sécuritaire.

 

Formation et développement professionnel : Offrir des opportunités d'apprentissage et de croissance professionnelle.

 

Femme heureuse au travail (QVT)

 

Comment mettre en place une QVCT ?

 

Effectuer un bilan pré-QCVT : Évaluer les besoins et attentes des employés.

 

Préparer un plan d'action : Fixer des objectifs clairs et s'engager avec les employés.

 

Déployer progressivement les mesures : Implémenter les objectifs par étapes, en se basant sur les priorités établies.

 

Mettre en place une évaluation continue : Suivre les retours et préparer des ajustements en tenant compte des avis des employés.

 

 

La QVCT n’est pas obligatoire mais est fortement recommandée. Depuis 2015, elle fait partie des négociations annuelles obligatoires (NAO) dans les entreprises de plus de 50 salariés.

De plus, les salariés heureux et en bonne santé mentale sont synonymes de productivité et d'engagement. Investir dans la QVCT, c'est bâtir une culture d'entreprise positive et durable.

 

 

Pour en savoir plus sur la solution Poplee Engagement : https://www.finopsys.fr/logiciels/poplee-engagement/

 

Lire l'article complet :

https://www.futura-sciences.com/sciences/questions-reponses/emploi-quest-ce-qualite-vie-travail-qvt-mettre-place-19732/

Article publié le 7 décembre 2023

 


QUELS SONT LES RISQUES QUI PESENT SUR LA TRESORERIE DES ENTREPRISES ?


 

Dans un contexte économique global marqué par l'incertitude, les prévisions pour 2024 suggèrent une croissance du PIB mondial limitée à 2,2%.

 

Cette situation est aggravée par un ralentissement conséquent du commerce mondial, -5% sur l’année 2023 d’après le dernier Global Trade Update de la CNUCED. Ces tendances révèlent une tension économique mondiale affectant la liquidité et les capacités financières des entreprises internationales.

 

En France, la croissance du PIB est attendue aux alentours des 0.9% selon la Banque de France. La faible croissance et la diminution des demandes de prêts indiquent des perspectives d'investissement futures limitées, soulignant la nécessité pour les entreprises de s'adapter à un environnement d'investissement restreint.

 

 

Ces éléments soulignent l'importance d'une gestion de trésorerie proactive et basée sur des données fiables.

Un suivi quotidien des paiements et une planification stratégique à moyen terme sont essentiels pour une gestion efficace des flux de trésorerie, permettant aux entreprises d'ajuster leurs stratégies financières en fonction de l'évolution du marché.

 

Pour assurer une gestion optimale de votre trésorerie dans ce climat incertain, la solution experte Sage XRT offre les outils nécessaires pour une gestion financière agile et éclairée.

 

Lire l'article complet

https://www.daf-mag.fr/Thematique/tresorerie-1239/gestion-depenses-2120/Breves/Quels-risques-pesent-sur-la-tresorerie-des-entreprises--386351.htm

Article publié le 14 novembre 2023 – Mis à jour le 15 novembre 2023

 


DIRECTIVE CSRD : REPORTING DE DURABILITE EXTRA-FINANCIER


 

À partir du 1er janvier 2024, la directive CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive), qui vise à renforcer la transparence des entreprises en matière de durabilité et de responsabilité sociale et environnementale, entrera en vigueur en France.

Cette directive aura un impact significatif sur la manière dont les entreprises communiquent sur leurs activités durables.

 

 

Parmi les principaux changements introduits par la directive CSRD, on trouve :

 

  • Le remplacement de la déclaration de performance extra-financière (DPEF) : La DPEF sera remplacée par des informations plus détaillées sur la durabilité, qui devront être publiées et incluses dans le rapport de gestion des entreprises. Cette obligation s'appliquera à un large éventail d'entreprises, y compris les PME cotées en bourse et les ETI.
  • La normalisation des informations : Les informations sur la durabilité seront soumises à des normes européennes et à un format électronique standardisé pour assurer une mise en œuvre cohérente. L'Autorité des normes comptables sera chargée de superviser ces normes.
  • La nécessité d'effectuer un audit indépendant : Les informations sur la durabilité devront être soumises à un audit réalisé par un tiers indépendant, qui devra les certifier. Cela nécessitera des modifications des règles régissant la profession de commissaire aux comptes.
 
 

Ces changements seront mis en place progressivement en fonction de la taille des entreprises.

En résumé, la directive CSRD et l'ordonnance associée transformeront la manière dont les entreprises françaises communiquent sur leur durabilité et leur responsabilité sociale et environnementale, en renforçant la transparence et l'harmonisation des informations.

 

 

Pour accompagner la directive CSRD, une ordonnance a été adoptée en France.

 

Cette ordonnance a deux objectifs principaux :

 

1) Transposition des dispositions législatives de la directive CSRD : Les exigences de la directive seront intégrées dans la législation française, ce qui obligera les entreprises françaises à se conformer à ces nouvelles règles en matière de durabilité et de responsabilité sociale et environnementale.

 

2) Simplification, réorganisation et harmonisation des dispositifs existants : Cela a pour but de rendre les règles plus claires et cohérentes, tout en éliminant les redondances et en définissant des critères communs de taille des entreprises et des groupes.

 

 

Ces nouveautés renforcent encore davantage la nécessité pour les entreprises de posséder une solution de GED…

Alors, pour passer le pas de la Gestion Electronique des Documents (GED) et évoluer avec votre environnement, optez pour la solution experte Zeendoc !

 

 

Lire l'article complet

https://bigmedia.bpifrance.fr/nos-dossiers/directive-csrd-reporting-de-durabilite-extra-financier

Article publié le 09 novembre 2023

 


CRM : LES 3 POINTS ESSENTIELS A CONNAITRE POUR MAXIMISER VOTRE EFFICACITE


 

Le terme CRM désigne un ensemble d’outils et de stratégies mis en place pour optimiserorganiser et développer les interactions avec les clients et prospects de l’entreprise. L’idée est de faciliter la coordination entre tous les acteurs de celle-ci.

 

Cette dénomination peut également correspondre à une stratégie plus large, dont l’utilisation de logiciel (pour stocker, gérer et partager les données clients…) peut faire partie.

 

 

Les 3 aspects clés des outils CRM

 

1)     L’aspect opérationnel

Ce premier aspect est particulièrement utile pour la gestion commerciale et le suivi des dossiers clients puisqu’il permet d’automatiser certains processus afin de consolider la stratégie marketing et de gagner plus de prospects.

Egalement très pertinents pour la relation clients, ces logiciels permettent par exemple de stocker un historique de tous les échanges, de centraliser les informations qui y sont relatives, le tout dans le but de coordonner les efforts et d’assurer une continuité dans ceux-ci.

 

2)    L’aspect stratégique

Afin de convertir des prospects en clients et de fidéliser ces derniers, il est primordial que les équipes commerciales et marketing soient coordonnées.

C’est ici que l’aspect collaboratif de l’outil CRM intervient : la synergie qu’il créer entre ces deux équipes permet de mettre en œuvre des stratégies plus efficaces et durables. Chaque collaborateur peut ainsi apporter sa pierre à l’édifice au cours de divers projets.

 

3)     L’aspect analytique

Cet aspect des outils CRM plus axé sur les nombres, permet d’étudier les données relatives à vos clients et prospects, afin d’orienter la prise de décision et les actions à mener. Une fois celles-ci mises en œuvre, il sera possible pour l’entreprise de mesurer ses KPI.

L’« A/B testing » est une technique qui peut s’avérer extrêmement efficace lorsqu’elle est conjuguée à un CRM analytique. Chaque changement, isolément apporté à votre stratégie, pourrait être analysé afin d’en mesurer l’impact.

 

 

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Lire l'article complet :

 

https://solutions.lesechos.fr/tech/c/crm-3-points-cles-pour-comprendre-son-utilite-42927/

Publié le 6 novembre 2023 – Mis à jour le 8 novembre 2023

 


FRAUDES AU VIREMENT : FORT DEVELOPPEMENT DU "VISHING"


 

Le « vishing », mot issu de la contraction de « voice » et de « phishing », est la nouvelle tendance des arnaques bancaires.

 

Cette technique consiste à faire croire à la personne piégée qu’elle est en ligne avec un conseiller travaillant pour sa banque.

 

Ce pseudo-conseiller alerte ensuite la personne piégée que des opérations suspectes ont lieu sur son compte.

 

Arrêt maladie et congés payés, nouvelles règles

 

Il peut lui demander :

 

  • De valider les opérations suspectes (en prétendant qu’il pourra lui-même les annuler).
  • De lui communiquer le code reçu par SMS de la part de sa banque.
  • De lui fournir son « pass sécurité » (service permettant de confirmer les opérations réalisées en ligne).

 

 

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Pour en savoir plus sur Sage XRT Solutions : https://www.finopsys.fr/logiciels/sage-xrt-com/

 

 

Lire les articles complets :

 

https://www.lerevenu.com/finances-privees/banque/fraudes-au-virement-fort-developpement-du-vishing

Article publié le 24 août 2023

 

https://www.lafinancepourtous.com/2023/09/14/arnaque-bancaire-faux-conseiller-et-faux-coursier/

Article publié le 14 septembre 2023

 


ARRET MALADIE ET CONGES PAYES : QUELLES SONT LES NOUVELLES REGLES ?


 

Le 13 septembre 2023, la Cour de Cassation alignait la législation française concernant les congés payés lorsqu’un salarié est en arrêt de travail, sur les normes européennes.

En effet, selon la nouvelle jurisprudence, il n’y a désormais plus de distinction en terme d’acquisition de congés payés entre les salariés en arrêt de travail pour maladie non-professionnelle et les autres.

 

Arrêt maladie et congés payés, nouvelles règles

 

Alors, quel est l’impact d’un tel changement sur la gestion des paies ?

 

Une telle prise de position a un impact direct sur les employeurs et leur gestion des paies. Cette décision nécessite notamment de revoir la méthodologie de calcul des droits à congés payés.

 

 

Il existe un danger, pour les entreprises, lié à cette nouvelle jurisprudence : sa rétroactivité

 

Un salarié ayant été en arrêt maladie par le passé pourrait demander à son employeur de lui octroyer, ou de lui payer, les jours de congés auxquels il aurait pu être éligible… Tout comme les congés payés acquis, mais non-pris en raison d’arrêts maladie non-professionnels pourront également être réclamés par les salariés. Un tel changement pourrait avoir un coût élevé pour les entreprises.

 

Face à cette nouveauté réglementaire, le législateur peut minimiser les conséquences financières pour les entreprises en se focalisant sur les 4 premières semaines de congés payés garanties par la directive européenne. Cette démarche permettrait de contenir l’impact financier en respectant le droit communautaire.

 

Le législateur pourrait également limiter le délai de prescription pour les réclamations de congés payés non-pris. Cela limiterait le nombre de demandes rétroactives qui, sans cadre plus précis, pourraient s’avérer coûteuses pour les entreprises.

 

Des nouvelles prises de décision des p